BAMAKO, ET LA FIN

La ville de Bamako s'est offerte comme une paisible demeure. J'ai quitté Katibougou pour me ressourcer, pour prendre une distance, pour faire le point. Et pour réfléchir à l'avenir. J'ai perdu la racine de mes envolées avec ce voyage. J'ai aussi perdu celle qui, boîteusement, accompagnait mon chemin depuis les quatre dernières années. Le lanceur de coris m'avait affirmé qu'une surprise, bonne ou mauvaise, m'attendrait à mon arrivée. Voilà, c'est arrivé. Maintenant je ne vole plus, je nage dans un nouveau crystal.



Je suis heureux de ce que j'ai accompli, et j'aimerais avoir vos impressions sur ce blog, savoir s'il vous a fait vibrer, si vous avez voyagé un peu, avec moi, à travers mon périple. Ecrivez-moi vos commentaires, votre appréciation! Ca me fera un plaisir immense!

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