LA ROUTE, MOPTI, DJENNÉ




Le goudron surchauffe les roues de l’autobus qui roule dans l’air de la nouvelle saison sèche. L’harmattan timide souffle mais la chaleur refuse de s’enfuir; la route, au travers des villes et villages, amène son lot de paysans, de poissons frits, de bananes plantains et d’attentes. Quant au reste, je n'en sais trop rien et je préfère vous écrire des images de Mopti et de Djenné...


Il y a longtemps que j'aurais dû voir ce qui se tramait dans les mythes et légendes du Mali. Je suis maintenant masqué et le sort est conjuré.

0 Comments:

Post a Comment